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5 conseils de copywriter pour captiver votre audience

Je ne vais pas vous faire un énième article sur la technique AIDA ou sur les tips que vous lirez ou écouterez un peu partout tellement le copywriting est tendance ces dernières années.

Enfin le free-lancing est tendance et le copywriting est un formidable métier pour écrire les pieds dans l’eau à l’autre bout du monde. Quand on le fait bien…

1 – L’Attention :

Bien sûr l’attention est primordiale. Pas d’attention, pas de lecture ou de visionnage, donc pas de vente. Point. Il faut donc capter votre audience. Et pas avec des titres putaclics. Sauf si votre préoccupation n’est pas de vendre mais d’être vu. Attention quand même au revers de la médaille et à votre réputation.

Attirer l’attention c’est avant tout suggérer qu’on peut répondre à un besoin latent. Je précise latent car il peut être connu ou non. Quand on travaille pour des start-up par exemple, elles répondent à des besoins dont le grand public n’a pas conscience qu’une réponse existe. Et donc le grand public vit avec le problème.

Et c’est aussi répondre à un problème immédiat. Inutile de chercher à convaincre des prospects qui pourraient être intéressés par votre produit ou service… plus tard. De nouveau, ça veut dire qu’on préfère engager une petite audience captive plutôt qu’une grosse audience avec beaucoup de badauds. Il faut donc que votre message aille à l’essentiel et capte la bonne audience.

2 – La Synchronisation

Ce que j’entends par synchronisation, c’est l’identification que peut avoir le prospect au problème rencontré et à la réponse apportée. Oui, moi aussi je suis passé par là. Et s’il ou elle s’en est sorti(e) avec ce produit ou service, pourquoi pas moi. C’est aussi le ton employé, les mots pour exprimer ce que le prospect peut ressentir. Et ce ne sont pas les mêmes quand on a 25 ou 65 ans, quand on est diplômé et qu’on a toujours vécu dans une grande ville, ou quand on a toujours été un artisan en milieu rural.

3 – L’Engagement

Si vous vous adressez à quelqu’un c’est pour qu’il interagisse. Sinon on soliloque. Vous devez donc amener votre destinataire à se manifester : retourner un coupon, aller sur votre site, signer une pétition, s’inscrire à un webinaire en ligne… peu importe mais c’est tout de suite et vous lui écrivez le mode d’emploi. Il veut bien vous faire confiance mais il ne faut que ça lui coûte de revenir vers vous. Et il faut qu’il le fasse tout de suite car plus tard il sera… trop tard.

4 – La Personnalisation

Qui me parle ? C’est souvent l’impression qu’on a quand on reçoit un courrier avec le nom d’une société ou même d’un service. Il faut vous identifier. Vous ou quelqu’un d’autre. Vous n’écrivez pas à une foule, vous écrivez personnellement à monsieur ou madame untel. Sinon vous ne pouvez pas agrémenter votre courrier de remarques personnelles du genre « et si comme moi », « ce qui m’est arrivé »… En ce moment, c’est moi Mickaël SAILLANT, qui vous fait part de mon expérience.

5 – La Sincérité

C’est la clé de tout. Si vous exagérez, si vous ne respectez pas ce que vous écrivez, si CHAT GPT vous a fait un article aussi dénué d’humanité que la relance courrier d’une administration, vous ne rentrerez pas en empathie avec votre interlocuteur. Or on ne fait pas une vente avec guide d’utilisation ou parce qu’on est bardé de récompenses. Votre interlocuteur, sincèrement, qu’est-ce qui va faire qu’il passe du temps sur votre message : votre offre et vous. Les bénéfices de votre offre et en quoi vous lui avez apporté une solution, sincère, éprouvée et pour laquelle vous jureriez sur la Bible de son efficacité tant vous êtes le premier convaincu.

Mickaël Saillant

Fondateur